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Les signaux de la réunion de novembre, ainsi que les signes récents d'une réaccélération de l'économie, suggèrent que les chances d’une nouvelle baisse des taux en décembre se sont réduites.

Les perspectives pour l'obligataire demeurent bien orientées dans plusieurs scénarios économiques, la Réserve fédérale américaine abaissant ses taux, à l'image d'autres banques centrales.

La Fed va continuer à réduire ses taux au cours des prochaines réunions afin de réaligner sa politique monétaire sur une économie américaine désormais plus «normale».

Les économies des pays développés ressemblent davantage à ce qu'elles étaient en 2019 qu'à n'importe quel moment depuis la pandémie.

La grande nouvelle est que l'inflation des logements a finalement ralenti en juin. Les variations mensuelles des loyers et des loyers équivalents à ceux des propriétaires se sont toutes deux modérées de manière significative.

Jérôme Powell a réaffirmé que la politique monétaire était restrictive et que le ralentissement progressif de la demande contribuait à faire progresser l'inflation.

Les Etats-Unis auront besoin d'une décélération plus substantielle des prix des biens de consommation avant que la Réserve fédérale n'envisage d'assouplir sa politique monétaire.

La probabilité que le FOMC ne procède à aucune réduction de taux a considérablement augmenté.

En apparence, les prix des voitures d'occasion ont baissé plus que prévu, mais les services de base hors logement se sont accélérés, sous l'effet d'un bond de l'inflation de l'assurance automobile.

Alors que de nombreuses grandes économies de marché développées ralentissent, les Etats-Unis continuent d'afficher une dynamique étonnamment solide que plusieurs facteurs positifs devraient alimenter dans la durée.