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De nouveaux progrès sur le front des tarifs douaniers, l’amélioration du sentiment de marché et une réduction de l’impôt sur les sociétés aux Etats-Unis devraient permettre aux actions US d’accroître leurs gains, de pair avec les marchés boursiers mondiaux.

Le plan de relance allemand jouera un rôle de stabilisateur important, notamment pour les secteurs de la défense et des infrastructures.

Les dépenses de défense peuvent être le catalyseur d’un engagement durable en faveur d’une politique budgétaire au niveau européen.

Face à des signaux économiques contrastés, la Réserve fédérale maintient sa position attentiste tout en reconnaissant une montée des risques pour l’emploi et l’inflation.

La liquidité sur le marché secondaire a été par moments légèrement détériorée, notamment durant les sessions les plus négatives, mais la tendance s’est inversée durant la seconde moitié du mois.

En imposant 50% de tarifs supplémentaires à la Chine (pour un total dépassant 110%), le président Trump révèle une mentalité typique d’un état de guerre plutôt qu’une réforme économique classique.

La différence entre la conception smithienne et l’approche mercantiliste réside dans la manière dont sont appréhendées la consommation et la production.

Un virage vers une déréglementation et un allègement fiscal pourrait se profiler à l’horizon, représentant peut-être l’éclaircie que les marchés attendent.

Le soutien budgétaire dont l’économie américaine a bénéficié depuis dix ans touche à sa fin.

Les marchés reprennent leur souffle, mais l’incertitude demeure. En mai, une question s’impose: partir ou rester investi?