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Préférence aux stratégies macro, equity et credit long/short, mais prudence sur les plateformes multi-gérants.

La Banque centrale européenne réitérera son approche de dépendance aux données. Le rendez-vous de mars devrait fournir plus d’informations.

Aux Etats-Unis, l’attention se tourne déjà de plus en plus du côté des élections présidentielles. Mais pour les marchés, l’actualité économique revêt en règle générale une plus grande importance que le résultat des élections.

Au Royaume-Uni, les ventes au détail se sont effondrées en décembre, ce qui tend à prouver que l'économie est peut-être entrée en récession à la fin de l'année dernière.

Les géants chinois de la fast-fashion, à l’instar de leur grands frères online Alibaba ou Tencent, se développent à l'étranger pour générer une croissance supplémentaire et compenser le ralentissement national.

«La capitalisation des intérêts sera le moteur de la performance pour les années à venir», a déclaré Saverio Perissinotto, CEO d’Eurizon.

Les déclarations récentes semblent confirmer que la BOJ continue d'observer les données pour confirmer son «cycle vertueux des salaires et des prix», plutôt que d'avoir acquis la conviction que le cycle pourrait déjà être finalisé.

Les industries particulièrement polluantes sont à la croisée des chemins. Pour les investisseurs, c'est une occasion unique de s'engager auprès de la direction pour plus de durabilité.

Cette année, la tendance semble moins robuste, les places financières ayant pris de l’avance fin 2023. Il faudra faire preuve d’ingéniosité pour y pallier.

Les actions et les obligations viennent de rebondir suite aux signes de poursuite de la décrue de l’inflation sous-jacente (hors énergie et alimentation) aux Etats-Unis.