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Les mid-cap allemandes ou certaines financières représentent des opportunités, juge Mathieu Racheter chez Julius Baer.

D’après Pierre Ceyrac, gestionnaire de portefeuille High Yield chez Aviva Investors, le marché obligataire demeure attractif aux niveaux actuels.

Tandis que les Sept Magnifiques ont décidé d’investir dans l’énergie nucléaire, un nouveau fonds tente de saisir les opportunités de ce secteur. Avec Hugues de la Rochefoucauld, de THEAM Quant, BNP Paribas.

«Nous allions notre expérience dans la gestion de fortune traditionnelle à la finance numérique», souligne Benjamin Duban, directeur de la gestion privée chez Gonet & Cie SA.

Luba Schoenig et Tonia Zimmermann, co-fondatrices de Umushroom, soulignent que la plateforme ne propose pas de produits pré-sélectionnés d’avance à ses utilisateurs.

Une époque est terminée, celle où la dette d’Etat était considérée comme une valeur refuge et se négociait avec une décote par rapport au taux sans risque, selon Pascal Gilbert, chez DNCA.

Edmond de Rothschild a mené à bien les transformations profondes engagées. Quelques questions à Ariane de Rothschild (photo) et Cynthia Tobiano.

Manny Pohl, président d’ECP Asset Management, explique pourquoi le gérant d’actifs australien se concentre sur un portefeuille de 30 à 45 sociétés sélectionnées de façon ultrarigoureuse.

Pour Uli Gerhard, gestionnaire chez Insight Investment, le niveau des taux d’intérêt globalement plus élevé a l’avantage d’offrir un coussin de protection dans le high yield.

L’écart de croissance entre les Etats-Unis et le reste du monde se réduira sans doute. Avec une rotation saine sur les marchés, selon Anastassios Frangulidis chez Pictet.