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Le revirement historique de l’Allemagne en termes d’investissement lui permettra de soutenir sa croissance mais aussi d’accroître ses dépenses militaires dans un contexte géopolitique menaçant, un exemple que les autres pays européens devraient suivre.

Les marchés actions européens continuent de faire preuve d’une remarquable résilience, au moment même où la correction de leurs pairs américains s’est, elle, accélérée.

Les premières discussions entre officiels russes et américains pour la paix entre la Russie et l’Ukraine ont eu lieu en Arabie Saoudite, sans la participation des pays européens.

Le climat de guerre commerciale génère de l’incertitude et contraint la Fed à adopter une posture prudente, retardant possiblement toute réduction des taux jusqu'à la seconde moitié de l'année.

Les risques politiques et les incertitudes liées à la guerre commerciale restent sous-évalués.

Les réductions des dépenses publiques et de la taille de l'administration fédérale prévues par Donald Trump pourraient peser sur l'activité économique et le marché du travail.

Les échanges entre le président américain et son homologue chinois ont permis d'atténuer les risques de guerre commerciale, favorisant ainsi un rebond des actions chinoises.

Aux Etats-Unis, les investisseurs anticipent désormais une baisse des taux directeurs en juin plutôt qu'en octobre.

Les hausses des taux, en particulier celles des taux réels américains qui ont dépassé les niveaux d’avril 2024, et l'approche de l'investiture de Donald Trump rendent les marchés actions plus volatiles et plus fragiles.

En Europe, les dernières nouvelles n’ont pas offert de meilleure visibilité politique. Aux Etats-Unis, la croissance reste toujours résiliente.