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Le gestionnaire d’actifs affilié à Deutsche Bank écope d’une amende de 25 millions d’euros à l’issue d’une enquête sur des investissements vendus comme plus durables qu’ils ne l’étaient en réalité.

Un ex-cadre de Tissot et un homme d’affaires français écopent chacun d’une peine de 15 mois de prison avec sursis de deux ans.

Le superviseur Bafin sanctionne le groupe pour des infractions dans la vente de produits dérivés en Espagne et d’autres manquements dans l’activité de sa filiale Postbank.

Le MPC considère que la banque «a omis de prendre, dans l’exercice de son activité, toutes les mesures organisationnelles raisonnables et nécessaires» pour empêcher l’un de ses conseillers à la clientèle de commettre des actes de blanchiment.

Des investisseurs de Singapour, du Japon et de Hong Kong réclament environ 250 millions de dollars pour les pertes subies.

Le négociant de matières premières devra s’acquitter de la somme de 3 millions pour ne pas avoir pris les mesures nécessaires à l’interne pour empêcher des paiements illicites en faveur du patron de la Sonangol.

Le chef du parti Rêve géorgien au pouvoir en Géorgie entend actionner la justice contre le gestionnaire de fortune, ses avocats lui reprochant notamment un manque d’informations ainsi que des retards dans l’exécution de transferts d’argent.

Suite à la publication du rapport de la commission d’enquête parlementaire, 47 investisseurs américains exigent de la Suisse une indemnisation d’environ 372 millions de dollars, contre 86 millions en juin dernier.

Le règlement d’anciennes affaires de soustraction d’impôts impliquant la banque reprise par le géant helvétique pourrait être conclu cette semaine encore avec le DoJ, affirme le «Wall Street Journal».

«Selon une évaluation préliminaire, de nombreux éléments de constatation pourraient être considérés comme imprécis et, par conséquent, rejetés comme irrecevables», a déclaré la Cour suprême de Bavière.