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«Le moment approprié pour la première hausse (...) dépendra de l’évolution de l’activité économique», indique l’un des gouverneurs de la Réserve fédérale.

Joe Biden a laissé entendre qu’il ne pourrait certainement pas faire adopter aussi rapidement qu’il le voudrait un vaste projet de dépenses sociales, crucial pour son mandat.

Le Brent termine sur un gain de 1,54% à 75,02 dollars et le WTI finit sur une poussée de 2,13% à 72,38 dollars.

Le mois dernier, 1,679 million de maisons et immeubles ont commencé à être construits, soit 11,8% de plus qu’en octobre, et 8,3% de plus qu’en novembre 2020.

La Réserve fédérale a décidé d’avancer de quelques mois la fin de la réduction d’achats d’actifs, condition préalable à la hausse des taux.

Durant la semaine achevée le 10 décembre, les réserves ont baissé de 4,6 millions de barils alors que les analystes tablaient sur un repli de seulement 1,7 million.

Le total des ventes s’est élevé à 639,8 milliards de dollars, soit 0,3% de plus qu’en octobre. Les analystes tablaient toutefois sur une progression de 0,8%.

Voici quelques dates clés du programme d’injections massives de liquidités baptisées «assouplissement quantitatif», ou «quantitative easing» (QE).

Ce plus fort renchérissement depuis 1982 est une mauvaise nouvelle pour Joe Biden, qui avait annoncé le mois dernier que sa «priorité absolue» était d’inverser la courbe de l’inflation.

«D’énormes quantités de fonds illicites» se retrouvent dans le système financier américain, déplore la secrétaire au Trésor lors du Sommet sur la démocratie.