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A l’exception de Rory Stewart, pour qui un «no-deal» serait «profondément dommageable», les candidats ont affirmé être prêts à faire sortir le Royaume-Uni de l’UE sans accord le 31 octobre.

Londres devra assurer le «respect de ses obligations financières contractées par le Royaume-Uni en tant qu’Etat membre», rappelle la Commission européenne.

Le président américain a adopté un ton conciliant avec la Première ministre britannique, loin des déclarations polémiques ayant précédé sa visite au Royaume-Uni.

«La partie de notre chiffre d’affaires qui est à risque est seulement de 2%», a indiqué le CEO de la banque dans «L’Agefi».

Avec son parti, Nigel Farage rafle 31,6% des voix. Les conservateurs s’enfoncent.

La démission de Theresa May renforce l’hypothèse d’un départ du Royaume-Uni de l’UE sans accord.

En plus de la livre sterling, tous les actifs britanniques seront sous pression dans les semaines à venir.

La croissance du PIB britannique ralentira encore pour s'établir à 1,1% en 2019 (contre 1,4% en 2018), car l'incertitude continue de peser sur l'investissement.

Malgré le départ de Theresa May et le flou ambiant sur le Brexti, les actions britanniques continuent d'être attrayantes.

Cette évolution augmente considérablement les risques que le Royaume-Uni s'effondre hors de l’UE sans accord, selon David Zahn de Franklin Templeton Fixed Income Group.