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Le suspension débutera la deuxième semaine de septembre et prendra fin deux semaines avant la date du Brexit, le 31 octobre.

Le superviseur bancaire s’attend à ce que les établissements accélèrent leurs transferts vers leurs implantations dans la zone euro.

Les investisseurs doivent s'attendre à des performances médiocres au cours des six à douze prochains mois, malgré un premier semestre 2019 globalement positif.

Graphique de la semaine de DWS. Beaucoup de preuves indiquent maintenant que le Parlement aura les moyens d’éviter un divorce sans accord.

«Il est évident que le ‘no deal’ est une manoeuvre tactique. Désolé, mais ça ne marchera pas», a notamment déclaré l’eurodéputée conservatrice polonaise Danuta Huebner.

«Des entreprises ne seront plus en capacité de fonctionner dans cette hypothèse», a prévenu le gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE), Mark Carney.

«L’accord de retrait a été rejeté trois fois (...) Ses termes sont inacceptables pour ce parlement et ce pays», a assuré le nouveau premier ministre britannique, réclamant «l’abolition du filet de sécurité» irlandais.

Il s’est débarrassé d’une très large partie de l’équipe de Theresa May, opérant un virage à droite et nommant aux postes clés de fervents Brexiter.

«Le ‘non à l’accord’ ne sera jamais le choix de l’UE, mais nous sommes prêts», a déclaré Michel Barnier.

«Nous allons mettre en oeuvre le Brexit le 31 octobre», a immédiatement déclaré le successeur de Theresa May à la tribune d’où les résultats ont été annoncés.