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Les cours font «du yo-yo», la tonne de blé oscillant depuis des semaines entre 230 et 240 euros sur le marché européen. Mercredi, elle s’échangeait autour de 233 euros pour l’échéance la plus rapprochée.

Pour l’année en cours, la croissance devrait atteindre 2,5%, a estimé l’institution, alors qu’elle était encore à 3,6% l’année dernière, sur fond d’une instabilité «grandissante».

Le fonds contrôlé par l’homme d’affaires français Hervé Vinciguerra réclame au groupe une série de précisions sur sa gestion et son projet de scission.

Le cycle sans précédent de hausses des taux a, comme attendu, renchéri le coût du crédit, mais «une part substantielle» des effets est encore «dans les tuyaux», déclare le vice-président de l’institut monétaire.

Il s’agit du plus faible rythme de croissance observé depuis janvier 2021 et il marque une «accentuation du ralentissement», indique la cheffe économiste d’ADP Nela Richardson.

L’alliance maintient la stratégie actuelle de baisse de production tout en se disant «prête à prendre des mesures supplémentaires» en fonction des conditions de marché.

Vers 13h40, le billet vert se déprécie face à l’euro qui prend 0,40% à 1,0509 dollar.

Les réformes institutionnelles promises pendant la pandémie doivent aussi être honorées, a affirmé mercredi à Genève la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement.

Avec un nouveau paquet de 9 milliards, l'administration du président affirme avoir annulé au total 127 milliards de dollars de dette étudiante, au bénéfice de 3,6 millions de personnes.

Le socialiste vaudois a justifié sa motivation par deux mots-clés, sa «marque de fabrique»: «Des ponts et des solutions».