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Le régulateur européen estime que l’intelligence artificielle «présente des risques inhérents, notamment des biais algorithmiques, des enjeux sur la qualité des données et un (potentiel) manque de transparence».

La visite de la présidente de la Confédération à Berlin permettra d’échanger sur les négociations en cours entre la Suisse et l’UE, ainsi que sur l’ordre et l’architecture de sécurité du continent.

Pour Viola Amherd, qui a rencontré Ursula von der Leyen à Bruxelles, il s’agit de préserver l’accès au marché européen pour les entreprises nationales.

Ces nouveaux pourparlers comprennent notamment des accords nouveaux ou actualisés dans les domaines de l’électricité, de la libre circulation des personnes ou des transports terrestres.

La législation européenne sera dotée de moyens de surveillance et de sanctions avec la création d’un office européen de l’IA. Il pourra infliger des amendes allant de 7,5 à 35 millions d’euros.

Celui-ci contient les lignes directrices des discussions finales qui démarreront après l’adoption du mandat côté européen.

L'UE a adopté un texte qui va contraindre les banques à proposer aux particuliers et aux entreprises un service de virement en moins de dix secondes.

Bruxelles a plaidé pour la création d’un marché unique des télécommunications afin de permettre l’émergence d’opérateurs paneuropéens et de faciliter les investissements nécessaires au développement des réseaux à très hauts débits.

«Je prends aujourd’hui une décision consciente et réfléchie: je souhaite me présenter pour un deuxième mandat», a indiqué la responsable allemande.

«Le résultat des discussions exploratoires constitue une bonne base pour mener des négociations», estime la commission de politique extérieure du Conseil des Etats.