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La feuille de route prévoit une mise en application de la nouvelle structure d’ici la fin de l’année prochaine.

La facture des catastrophes assumée par les réassureurs est encore alourdie par la crise du COVID-19, à hauteur de 35 à 50 milliards de dollars selon S&P.

Les spécialistes sont en train d’estimer sur place les dégâts et il faudra plusieurs mois avant de pouvoir évaluer les coûts pour le réassureur zurichois à cette catastrophe.

Le réassureur a mis en avant les dommages provoqués par les ouragans dans des zones peuplées, ce qui a conduit à une hausse des dommages. Les charges liées au COVID-19 vont aussi peser.

Au premier semestre 2020, le total des pertes s’est établi à 75 milliards de dollars, en hausse de 33% comparé à la même période de l’année dernière.

Le réassureur zurichois a subi une perte de 1,1 milliard de dollars et s’abstient de présenter des prévisions chiffrées pour l’ensemble de l’année. Le titre grimpe.

A 10h29, l’action Swiss Re abandonnait 1,4% à 75,84 francs, à contre-courant d’un indice vedette SMI en hausse de 0,28%.

Le numéro deux mondial de la réassurance prévoit d’inscrire une perte nette (US Gaap) de 1,1 milliard de dollars au premier semestre.

La nomination intervient dans la foulée de l’annonce du regroupement des unités d’affaires Life Capital et Iptiq dans une division autonome.

L’opération constitue une «nouvelle étape pour son unité Alternative Capital Partners».