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D’avril à juin, le bénéfice net de Danske Bank s’est élevé à 4 milliards de couronnes à cause des taux d’intérêts bas et du coût élevé de ses efforts en matière de conformité et de lutte contre le blanchiment d’argent.

«Nos performances ne sont pas satisfaisantes et d’autres mesures sont nécessaires pour renforcer les résultats», concède le PDG de Nordea, Casper von Koskull.

La banque américaine affiche un bénéfice net trimestriel en hausse de 11% sur un an, un record.

Au terme du premier semestre, les actifs s’élevaient à 79,8 milliards d’euros (88,5 milliards de francs), en hausse de 9,6% par rapport à fin décembre.

La quatrième banque américaine par son volume d’actifs a enregistré un bénéfice net de 6,2 milliards de dollars, en hausse de 20%.

Ce résultat a été alimenté par la bonne santé de ses activités traditionnelles de prêts aux ménages et PME et par une hausse des dépenses des détenteurs de cartes bancaires.

La firme a enregistré un bénéfice net de 2,2 milliards de dollars, en baisse certes de 6,4% sur un an. Le chiffre d’affaires a pour sa part diminué de 1,8%.

Le spécialiste zougois en capital-investissement a dépassé les attentes en termes de masse sous gestion à fin juin, grâce à une demande clientèle solide.

La somme au bilan a dépassé la marque symbolique des 5 milliards de francs, à 5,08 milliards (+3,7%).

 Alors que ses revenus ont stagné au regard de six premiers mois de l’an dernier, l’établissement de Suisse orientale a vu son résultat d’exploitation se contracter de 1,4%.