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Le 3 juin, l’UE avait décidé d’un embargo progressif d’ici début 2023. Berne avait ensuite décidé de suivre ces nouvelles sanctions, bien que la Suisse n’achète pas de pétrole brut directement à la Russie.

Le ministre de l’Energie et des Infrastructures s’exprime alors que les Occidentaux accentuent leur pression sur les 23 pays membres pour qu’ils augmentent leur production afin de freiner l’envolée des prix.

Cette décision intervient au lendemain d’un arrêt temporaire des ventes d’essence et de diesel dans tout le pays en raison de graves pénuries.

Le Brent termine sur une montée de 1,74% à 115,09 dollars et le WTI finit sur une grimpée de 1,81%, à 109,57 dollars.

Face à la flambée des prix à la pompe, Paris plaide également pour une «diversification des approvisionnements» vers l’Iran et le Venezuela.

Le Brent termine sur une poussée de 2,78% à 113,12 dollars et le WTI finit sur un bond de 3,21% à 107,62 dollars.

Le Brent termine sur un recul de 1,51% à 110,05 dollars et le WTI finit sur un reflux de 1,80% à 104,27 dollars.

Le Brent termine sur une perte de 2,53% à 111,74 dollars et le WTI finit sur une dégringolade de 3,04% à 106,19 dollars, après avoir plongé de plus de 7% en séance.

Le Brent grappille 0,45% à 114,65 dollars à la clôture, alors qu’il avait grimpé au-dessus de 116 dollars plus tôt à Londres. Le WTI gagne finalement 0,99% à 110,65 dollars.

«Un plafonnement des prix empêcherait les effets collatéraux sur les pays à faible revenu et en développement qui luttent contre les coûts élevés de l’alimentation et de l’énergie», a déclaré Janet Yellen.