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Vers 18h20, le Brent prend 0,71% à 113,92 dollars et le WTI gagne 0,56% à 110,17 dollars.

Le régime de Vladimir Poutine est devenu le mois dernier le premier fournisseur du géant asiatique, devant l’Arabie saoudite.

Les actions ordinaires étaient en baisse de 8,68% vers 16h30 locales et les préférentielles de 8,32%, mais la chute avait légèrement dépassé les 10% en début d’après-midi.

Le Brent clôture sur une dégringolade de 5,58% à 113,12 dollars et le WTI finit sur une chute de près de 7% à 109,56 dollars.

Le Brent termine sur un gain de 1,09% à 119,81 dollars et le WTI finit sur une avancée de 1,96% à 117,58 dollars.

Le président américain adresse une lettre à sept majors les avertissant de possibles mesures d’urgence du pouvoir fédéral.

Le WTI finit sur une dégringolade de 3,04% à 115,31 dollars et le Brent termine sur une perte de 2,19%, à 118,51 dollars.

Durant la semaine achevée le 10 juin, les réserves US d’or noir se sont accrues de 1,9 million de barils en net, alors que les analystes attendaient une contraction de 2,2 millions.

«La consommation va surpasser les niveaux pré-pandémie pour la première fois, à 101,6 millions de barils par jour (mb/j) en 2023», écrit-elle dans son rapport mensuel sur le pétrole.

Stefan Meierhans remarque que les prix de l’essence et du diesel ont renchéri plus fortement que les prix du pétrole brut ces derniers temps en Suisse.