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Le gouvernement français n’est pas encore sur le point de faire un big bang budgétaire.

L’abaissement de la note des Etats-Unis peut être un événement notable pour les actions, selon Arthur Jurus chez ODDO BHF.

La réponse en cas de crise économique passait autrefois par un plan de stimulation du crédit. Ce genre de mesure n’est plus adapté.

Désormais, l’attention se porte sur le marché du travail aux Etats-Unis. Nous attendons une croissance de 1,7% pour l’économie américaine en 2023, puis de 0,3% en 2024.

L’économie évolue sous son potentiel sans que la Banque d’Angleterre ne puisse diminuer les taux.

La Chine souffre de deux handicaps structurels, sa démographie déprimée et la purge de sa bulle immobilière.

Le FMI et l’OCDE anticipent une croissance mondiale entre 2,5% et 3% cette année et à peine mieux l’an prochain.

L’économie mondiale reste dans une zone de fragilité.

Les risques baissiers restent dominants. Les conditions de financement se sont considérablement durcies.

Les tensions du marché du travail s’atténuent progressivement.