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Avec ses 63 milliards de francs de valeur ajoutée en 2018, le secteur financier a contribué à raison d’un franc sur onze au PIB de la Suisse.

Le vice-président de la BCE Luis de Guindos reconnait que les analystes de marché s’inquiètent de l’impact négatif de la politique monétaire sur les marges nettes d’intérêt.

Selon un sondage, les sociétés du secteur s’attendent à ce que les droits de douane plus élevés persistent jusqu’en 2020.

La part des entreprises bancaires signalant une amélioration des affaires est en nette augmentation.

Le projet est baptisé PEPSI - pour Pan European Payment System Initiative – et compte plusieurs établissements français, selon des sources concordantes.

Le responsable de la stratégie et membre de la direction générale de la filiale helvétique de Credit Suisse succède à Thomas Ulrich.

Le nombre d’agences bancaires a lui diminué de 27,5% en une décennie dans la péninsule, selon Mediobanca.

Les pressions exercées sur les revenus poussent les banques européennes à résoudre leur problème de coûts structurels.

La commission de l’économie souhaite que les amendes prononcées à l’étranger puissent être déduites si les sanctions sont contraires à l’ordre public suisse.

Les performances de JPMorgan Chase, Goldman Sachs, Citigroup et Wells Fargo constituent une bonne surprise face à la pression des taux d’intérêt bas.