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Les Emirats arabes unis ont essuyé les plus lourdes pertes: les marchés d’Abou Dhabi et de Dubaï ont respectivement dégringolé de 7,8% et 6,2%.

Les deux alliés majeurs au sein de l’Opep annoncent qu’ils pourraient inonder les marchés mondiaux d’or noir, dont les cours replongent.

La croissance de la demande est réduite à 60’000 barils par jour, contre 990'000 prévus précédemment.

Vladimir Poutine a assuré mercredi que la Russie sortirait avec «calme et dignité» de la crise actuelle et que son économie en serait même «renforcée».

La Russie évoque ce mardi le renouvellement de sa coopération avec l’Opep.

«La société s’attend à ce que cela ait un effet financier positif à long terme», a-t-elle indiqué.

Le Dubaï Financial Market a bondi de 5,5% et celui d’Abu Dhabi de 4,2%.

Lundi, la Bourse de Ryad, la plus importante du Golfe, a clôturé en baisse de 7,8%.

«Nous avons pris toutes les précautions possibles» pour protéger nos infrastructures», assure le ministre saoudien de l’Énergie.

Deux heures après le début des échanges, le prix de l’action d’Aramco se stabilisait à 38,60 riyals (9,25 euros), en hausse de 9,3%, après de fortes fluctuations.