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La persistance de l'inflation limite la réduction des taux d'intérêt par les banques centrales.

Les investisseurs doivent garder à l'esprit que les taux dans la zone euro devraient probablement rester structurellement plus élevés qu'avant la pandémie.

Contrairement aux précédents cycles de baisse opérés par les banques centrales, aucun nouveau record ne devrait être atteint cette fois-ci.

L'inflation globale devrait atteindre l'objectif de 2% en 2024. Le renchérissement pourrait même passer temporairement sous cet objectif.

Pourtant, il y aura tout de même quelque chose sous le sapin: 2024 sera l'année d’un revirement de politique et Madame Lagarde n'a pas explicitement exclu des réductions au premier semestre 2024.

Le Japon fait partie des marchés attractifs pour 2024, selon Ann-Katrin Petersen, de BlackRock Investment Institute.

Sur les marchés des capitaux, le Cochon de Terre – animal astrologique chinois symbole de chance et de prospérité - a sans doute été à la hauteur de son nom en 2019.

À Francfort, les premiers flocons de neige pourraient bien sonner pendant le week-end de l'avent.

Avec les questions sur l’Allemagne, les taxes européennes de Trump et l’accord partiel sino-US à l'esprit, la semaine prochaine s'annonce très intéressante.

Les attentes des banquiers centraux et des ministres des Finances ne seront pas suffisantes pour assurer la pérennité de l'été indien sur les marchés boursiers.