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L'évolution sur le front des taux d'intérêt et les développements géopolitiques nourrissent les craintes.

Rarement les lacunes des dirigeants mondiaux et des accords institutionnels existants n’avaient été aussi flagrantes.

Renforcement de la conviction selon laquelle la banque centrale a procédé à un resserrement excessif en relevant les taux en septembre.

Christine Lagarde a indiqué que les données relatives aux accords salariaux pour 2024 seront déterminantes pour la décision sur les taux l'année prochaine.

Nous continuons de tabler sur une première baisse des taux d'intérêt à la fin du deuxième trimestre 2024.

Les perspectives restent certes mesurées, mais il ne faut pas sous-estimer la portée des intérêts composés.

De nombreuses innovations sont en cours de développement, et nous assisterons probablement à un certain nombre d’annonces de produits dans les 6 à 12 prochains mois.

La reprise continue des taux de couverture estimés des institutions de prévoyance suisses a subi un revers au troisième trimestre.

Les opérateurs devraient redoubler de prudence alors que l’idée d’un soft-landing fait désormais consensus.

Face aux tensions géopolitiques, les investisseurs actions se tournent vers les pétrolières diversifiées.