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Après un atterrissage en douceur, l'expansion économique pourrait se poursuivre pendant un certain temps, voire plusieurs années.

A l’instar de la Fed, la Banque d’Angleterre a laissé entendre que, si les taux avaient vraisemblablement atteint leur point culminant, il était trop tôt pour envisager de les abaisser.

Pour l'Europe, les bonnes nouvelles sont arrivées avec l'annonce que la région avait évité une récession technique (deux trimestres consécutifs de contraction).

Si la nature a horreur du vide, les marchés financiers ont horreur de l’incertitude. Et lorsque cette incertitude ne peut se remplir d’une réalité qui devient de facto certaine, elle se remplit de volatilité.

Le changement climatique se révèle être un moteur de croissance et une opportunité d'investissement.

Depuis 1999, le rendement des capitaux propres des valeurs américaines a dépassé celui des valeurs européennes, selon les données de l'indice MSCI.

Une opportunité tactique se présente pour les actions, alors que l'inflation continue de ralentir et que la croissance économique reste solide.

En 2023, les Chinois célébraient l’année du lapin. Tous les investisseurs espèrent qu’en 2024 les banques centrales ne les
décevront pas.

La façon dont nous écoutons et apprenons a radicalement changé au fil du temps. C’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit d’investir de l’argent.

Il y a quelques jours, l’indice S&P 500 flirtait avec ses sommets historiques, à la faveur de la bonne tenue des indicateurs économiques américains. Décryptage.