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Bien que l'incertitude politique reste forte, les tensions avec l'UE ne devraient pas s'aggraver de la même manière qu'en 2018.

«Depuis qu’on a instauré le taux négatif sur les dépôts, cela coûte cher aux banques», affirme Eric Dor de l’IESEG Management School.

Les règles d'investissement anticycliques de LGT ont produit un signal d'achat pour les actions japonaises.

Il faut s’attendre à de nouvelles réductions des taux directeurs par la Fed, limitées à 25 points de base.

La principale question macroéconomique est de savoir si une Fed plus accommodante et une économie américaine résiliente seront en mesure de tirer le reste de l’économie mondiale vers le haut.

Les perspectives plus sombres de la croissance mondiale sont repoussées par l'assouplissement de la politique monétaire mondiale.

La crise politique actuelle en Italie doit être prise au sérieux car elle pourrait conduire à un nouveau différend budgétaire avec l'UE.

Les risques de récession américaine à court terme sont limités, malgré l’inversion de la courbe des rendements.

«Un grand nombre de variables pourraient rapidement et soudainement favoriser à nouveau la volatilité», estime Serge Pizem d’AXA IM.

Au deuxième trimestre, S&P a prononcé 27 hausses et 25 baisses de notation parmi les sociétés financières et non financières européennes.