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Le résultat opérationnel et le bénéfice net se situent à des niveaux élevés à respectivement 258 millions (-8,3%) et 219 millions de francs (-5,2%).

Lloyd’s of London publie un bénéfice avant impôts pour l’année 2024 de 9,6 milliards de livres, soit légèrement moins qu’un an plus tôt.

UBS Europe, qui a absorbé la succursale française, a en revanche été relaxée du chef de subornation de témoin et d’entrave au Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail.

«Il s’agit à ma connaissance d’un investissement dans la fintech sans précédent dans le monde de la gestion de fortune», déclare le CEO du groupe bancaire bâlois Daniel Belfer.

Des acquisitions à hauteur de 100 millions francs seront intégrées au portefeuille en avril, ce qui «permettra d’améliorer encore sa qualité et son rendement», souligne Helvetia Fondation de placement.

«L'art contemporain se distingue par sa capacité à offrir à la fois des rendements potentiels intéressants et un ancrage culturel profond», explique Arnaud Dubois, cofondateur et directeur des investissements.

Ce «bon résultat» est dû tant à la croissance qu’à la gestion conséquente des coûts. L’exercice 2024 est le meilleur de l’entreprise jusqu’ici, indique le fournisseur de cartes bancaires.

La perspective est maintenue à «stable», indique l’établissement cantonal vendredi dans un communiqué.

Le gestionnaire d’actifs compte investir jusqu’à 1,2 milliard de dollars australiens pour le transformer en une plateforme de nouvelle génération, en raison notamment de la montée de l’intelligence artificielle (IA).

LOIM s’est vu attribuer la gestion de 150 millions d'euros sur l’ensemble du mandat d’une valeur totale de 400 millions d'euros.