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Le Risk Outlook 2025 révèle un monde fragmenté, où 69% des professionnels de la gestion des risques estiment que les tensions géopolitiques auront un impact significatif sur leur organisation et/ou leurs employés l’an prochain.

«Les investisseurs institutionnels suisses abordent 2025 avec un optimisme prudent, en restant fermement concentrés sur la stabilité dans un paysage mondial complexe», explique Sophie Courmont, chez Natixis IM.

Une évaluation de MoneyPark révèle que 85% des propriétaires dans la tranche des 50-65 ans sont confrontés à un problème «substantiel» de capacité financière de leur hypothèque à l’âge de la retraite.

Dans la catégorie des risques non financiers, la Finma pointe cette année ceux associés aux sanctions. Les restrictions commerciales en matière de services financiers exposent les établissements financiers au risque de violer des sanctions.

Pour l’Association suisse des banquiers (ASB), on ne devrait pas «limiter la compétitivité sans raison».

Un bien sur cinq est «surpayé». C’est ce que révèle une évaluation de MoneyPark et d’Helvetia, portant sur plus de 7’000 financements immobiliers réalisés entre 2021 et 2024.

Le Real Estate Risk Index de MoneyPark constate pour la première fois depuis trois ans une nette hausse. Celle-ci est due à l’affaiblissement de la situation économique et à l’élargissement des marges des prestataires hypothécaires.

Anders Malmström succédera à John Dacey en tant que directeur financier du groupe. Il entrera en fonction à compter du 1er avril 2025.

Parmi les principaux, le réassureur zurichois cite les effets en cascade des catastrophes naturelles, les défaillances dans la chaîne d’approvisionnement et le sous-financement du système de santé publique.

L’institut francfortois fait ainsi fi du rebond de l’inflation observé en avril dans la zone euro à 2,6%.