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Selon les estimations, l’impact direct de la crise COVID-19, tous canaux confondus, réduira la croissance du PIB réel en 2020 de 2,5 points de pourcentage.

Ce ralentissement à 1,2% intervient après trois mois d’accélération de l’inflation. En janvier, elle avait encore atteint 1,4%.

Les crédits aux entreprises non financières et aux ménages européens ont progressé de 3,8% en janvier sur un an, après 3,7% en décembre et 3,6% en novembre.

L’indice mensuel s’affiche à 51,6 en février, en hausse par rapport à 51,3 en janvier.

Les régulateurs ont imposé une série de mesures visant à faire porter ce coût par les banques elles-mêmes, quitte à solliciter les actionnaires et les créanciers plutôt que les contribuables.

La Commission européenne maintient toutefois à 1,2% ses prévisions de croissance pour 2020 et 2021.

L’indice mensuel s’affiche à 51,3 en janvier, en hausse par rapport au 50,9 atteint en décembre.

La situation commerciale des entreprises suisses s'est au moins légèrement améliorée en janvier dans presque tous les domaines.

La progression du PIB s’est établie à 1,2% en 2019, contre 1,8% en 2018 et 2,4% en 2017, selon les chiffres d’Eurostat.

Le taux de chômage dans la zone euro a atteint en décembre son niveau le plus faible depuis mai 2008 à 7,4%.