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L’entente avec un groupe de créanciers privés internationaux permettra au pays sous le feu russe depuis deux ans et demi d’économiser 11,4 milliards de dollars sur les trois prochaines années et 22,75 milliards d’ici 2033.

Sur la table de négociations figure la proposition des Etats-Unis visant à accorder à l’Ukraine jusqu’à 50 milliards de dollars de prêt garanti par les futurs bénéfices engendrés par ces actifs.

A ces 5,8 milliards s’ajoutent 17 biens immobiliers de personnes physiques, d’entreprises ou d’entités visées par les sanctions, a indiqué le Seco. Des voitures de sport et de luxe, des oeuvres d’art, du mobilier et des instruments ont aussi été gelés.

«Chaque instant de retard des Républicains de la Chambre des représentants renforce Poutine et enhardit les adversaires de l’Amérique dans le monde entier», déclare notamment la secrétaire au Trésor.

Les élus se prononceront sur quatre textes, dont celui sur les 61 milliards pour Kiev qui avait été adopté au Sénat en février mais finalement rejeté par les républicains de la Chambre des représentants.

Cette aide financière à l’égard des personnes touchées par le conflit ukrainien sera étalée sur douze ans.

L’élection doit maintenir Vladimir Poutine au pouvoir jusqu’en 2030, l’année de ses 77 ans.

Le président américain a organisé une réunion dans le Bureau ovale pour tenter de convaincre Mike Johnson, le président républicain de la Chambre des représentants, de débloquer une enveloppe vitale pour Kiev et éviter une paralysie du gouvernement américain.

En visite en Estonie, la conseillère fédérale Viola Amherd explique que la Suisse souhaite voir une solution émerger au niveau international, et non chaque pays venir avec ses propres mesures.

«Nous allons introduire des restrictions d’importation sur les diamants non-industriels extraits, transformés ou produits en Russie à partir du 1^er janvier 2024», ont indiqué les dirigeants des sept puissances économiques.