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La cheffe de la Banque centrale de Russie Elvira Nabioullina craint que les guerres commerciales n’entraînent une baisse de l’économie mondiale et, potentiellement, de la demande pour les ressources énergétiques russes.

Chacun des deux pays a accepté d’«assurer la sécurité de la navigation, de supprimer l’usage de la force et d’empêcher l’utilisation de navires commerciaux pour des objectifs militaires en mer Noire», indique la Maison Blanche.

Les frappes russes éviteront les infrastructures énergétiques pendant 30 jours. Pour le reste, le président russe a déroulé ses conditions, dont la fin du «réarmement» de l’Ukraine. Zelensky reste méfiant.

Le Kremlin annonce de son côté que «des contacts» étaient «prévus dans les jours à venir avec les Américains» et dit attendre d’eux «une information complète».

La hausse des prix atteint 10,06% sur un an, contre 9,9% en janvier, selon les chiffres de l’agence nationale de statistiques Rosstat.

Suite à la réunion en Arabie saoudite, Washington annonce la levée «immédiate» de la suspension de l’aide à Kiev. La balle est maintenant dans le camp de Moscou, déclare le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio.

«Compte tenu du fait que la Russie ‘pilonne’ actuellement l’Ukraine sur le champ de bataille, j’envisage fortement des sanctions (…) jusqu’à ce qu’un cessez-le-feu et un accord définitif sur la paix soient conclus», déclare le président US.

L’annonce du chef des conservateurs allemands, dix jours après sa victoire aux législatives, envoie un signal fort en pleine tempête provoquée par le rapprochement de Donald Trump avec la Russie.

Le premier ministre ukrainien Denys Chmygal répète que les Etats-Unis sont «un partenaire important», tout en promettant: «Nous ferons tout pour tenir bon». L’UE prépare un renforcement de son soutien à Kiev.

Le président US impose dès aujourd’hui ses droits de douane contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide de Pékin et d’Ottawa.