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L’institut allemand Ifo a calculé la perte de valeur ajoutée liée à l’interruption de la production, mais aussi le retard pris dans le retour à une activité normale ou les faillites.

La baisse est de 0,4% sur un an en termes nominaux et corrigée des variations calendaires. L’OFS a constaté une augmentation de 0,3% en rythme mensuel.

Les besoins de financement à court terme de la Confédération augmentent par suite des mesures visant à atténuer les conséquences économiques de la propagation du coronavirus.

Le baromètre conjoncturel du KOF a perdu 8,9 points en mars, passant de 101,8 (révisé de 100,9) à 92,9.

Si l’épidémie de coronavirus poursuit ses ravages, quelques signes indiquent que le pic de la crise n’est peut-être plus si éloigné.

L’indice publié annuellement par MSCI et Wüest Partner s’est élevé à 6,2% en moyenne pour toutes les catégories de biens.

La branche du tourisme et l’annulation de plusieurs grands événements sportifs pèseront très fortement sur le PIB suisse, explique le CIO Christoph Schenk.

Ce chiffre correspond à 11% des travailleurs de Suisse, indique le chef de la division travail du Seco Boris Zürcher.

La banque table sur «la même contraction qu’en Europe, soit -2,0 à -2,5% pour le PIB, avant une reprise».

L’agence de notation abaisse en revanche la perspective de «stable» à «négative» pour la Belgique, le Danemark, la France, les Pays-Bas, l’Italie et l’Espagne.