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«Nous discuterons de possibles collaborations au fur et à mesure que notre portefeuille d’ARN messagers se concrétisera», déclare le directeur général de Moderna, Stéphane Bancel.

Les HUG espèrent démarrer l’essai clinique à l’été ou l’automne 2023, indique le chef du département d’oncologie.

«Une dose de rappel de 50 microgrammes a induit «une réponse d’anticorps (...) supérieure contre le variant Omicron, un mois après son administration, comparé au vaccin originel», a déclaré Moderna.

En comparaison avec les adultes et les adolescents de 12 ans et plus, les enfants âgés de 6 ans au moins recevront deux demi-doses du vaccin à quatre semaines d’intervalle.

Une option est prévue pour 7 millions de doses supplémentaires en 2023 et 2024.

Moderna annonce son engagement à faire progresser d’ici 2025 le développement de vaccins ciblant 15 agents pathogènes identifiés comme les plus grands risques de santé publique par l'OMS et le CEPI.

Selon l’entreprise, six mois après l’injection du rappel, les niveaux d’anticorps neutralisants contre Omicron étaient réduits par six par rapport au pic observé 29 jours après la piqûre.

Des négociations sont notamment en cours sur un abonnement de vaccination avec un engagement d’achat d’un certain volume par la Suisse, a déclaré le patron de la société de biotechnologie américaine Stéphane Bancel.

Ces groupes pharmaceutiques ont amassé cet argent en vendant l’immense majorité de leurs doses à des pays riches, selon une étude de la People’s Vaccine Alliance.

Les essais cliniques menés sur plus de 4700 participants démontrent une réponse immunitaire forte chez ce groupe d’enfants un mois après la seconde dose, avec des niveaux d’anticorps «robustes» détectés.