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«Les revenus ont augmenté dans tous les secteurs clés, en particulier dans les opérations sur titres», ont détaillé le président Eric Charpentier et le directeur général Thomas Müller (photo).

L’assureur bernois a dégagé l’an dernier un bénéfice consolidé de 474,9 millions de francs, en hausse de 8,5%.

Le chiffre d’affaire s’est envolé de plus de 22% à 234,3 millions de francs quand les prises de commandes ont gonflé de presque 40% jusqu’à atteindre 280,3 millions.

Le bénéfice net s’est inscrit à 5,9 millions de francs, à comparer à une perte nette de 10,7 millions de francs un an plus tôt.

«Nous avons su nous transformer en développant une proposition renouvelée et enrichie à destination de nos partenaires et de nos clients», explique Christian Gibot, CEO de Cardif Lux Vie.

Un an après un bénéfice record de 756 millions de francs, la société de participations zougoise table sur une perte nette avoisinant les 80 millions.

Fin mars, la valeur nette d’inventaire (VNI) s’est établie à 9,68 francs par action, en infime hausse de deux centimes comparé à fin 2021.

La société de participation, qui va verser un dividende, lorgne vers de nouveaux secteurs d’activités et notamment vers celui des services à la personne.

Le bénéfice opérationnel s’est inscrit à 359,2 millions, un chiffre inférieur de 2,0% à la valeur de l’année précédente. Cela s’explique par l’abandon d’activités dans le segment vie.

Constitué par Chemchina et Sinochem autour de l’ancien fleuron éponyme de la Bourse suisse, le groupe Syngenta a engrangé 7,4 milliards de dollars sur le seul territoire chinois, en hausse de plus de 40%.