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La pandémie du coronavirus suscite encore des turbulences sur le marché du pétrole, et n’épargne pas non plus la politique des dividendes de nombreuses entreprises.

Plus les branches économiques seront nombreuses à retrouver un fonctionnement normal, plus les dommages économiques pourront être atténués.

Les mesures visant à endiguer le coronavirus ont d’importantes répercussions sur la demande et l’offre de biens de consommation dans de nombreux pays.

«L’adoption d’une stratégie claire a contribué de manière significative au succès du projet», explique Philipp Ackermann, responsable Treasury chez Raiffeisen Suisse.

Plus le temps passe, plus nous voyons notre quotidien habituel se fondre au loin et nous nous habituons subrepticement à cette nouvelle vie inaccoutumée.

Le pétrole a souffert en raison des différends parmi les pays de l’OPEP ainsi que du coronavirus. Mais, les chances d’une reprise à moyen terme sont encore bonnes.

Un retour au moins timide à la normalité semble à portée de main, mais la patience est essentielle dans un premier temps.

Même avec un assouplissement progressif des restrictions après les vacances de printemps, et sans deuxième vague de contamination, le PIB suisse devrait reculer de 2% en 2020.

Répercussions sur la conjoncture et les marchés financiers.

Le mois de mars restera un mois sombre dans l’Histoire. Presque toutes les catégories de placement ont fortement fléchi, et même la diversification était futile.