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D’après un communiqué, la BCE a essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024, les charges d’intérêts ayant dépassé les intérêts perçus par l’institution gardienne de la zone euro.

L’inflation dans la zone euro a nettement ralenti depuis le pic de 10,6 % en octobre 2022, pour tendre désormais vers la cible de 2%, en voie d’être atteinte en 2025.

Un concours européen de design sera ouvert lors du trimestre en cours, en vue d’une décision finale en 2026 sur l’identité des futurs billets de banque.

Le niveau actuel des taux de la BCE reste «restrictif» pour l’économie, «nous ne sommes pas à un niveau neutre de taux» pour la croissance, qui signifierait que l’institut monétaire a achevé son cycle, explique la présidente Christine Lagarde.

«Un conflit commercial prolongé entraînerait fort probablement une baisse du PIB et une hausse des prix au Canada», avertit la banque centrale, évoquant les menaces de Donald Trump.

Alors que le Comité de politique monétaire reprend sa réunion, les acteurs de la finance s’attendent à voir les taux directeurs demeurer à leur niveau actuel. Verdict ce soir.

Les discussions, qui se tiennent aujourd’hui et demain, devraient déboucher sur un maintien des taux d’intérêt à leur niveau actuel, selon les marchés.

La banque centrale a remonté son taux directeur à 0,5%, contre 0,25% précédemment, au terme d’une réunion de deux jours.

Après l’avoir déjà relevé par deux fois cette année, la BoJ a gardé inchangé son taux directeur à 0,25%, arguant des «incertitudes élevées» persistant sur l’activité.

Selon Vanguard, la Réserve fédérale n’aura que peu de marge de manœuvre pour abaisser son taux directeur à moins de 3,75%-4% afin d’éviter tout risque de reprise de l’inflation.