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L’ancien gérant de fortune écope d’une peine privative de liberté de six mois avec sursis, dans le cadre de procédures ouvertes en lien avec l’affaire «Lava Jato», impliquant la société brésilienne Petrobras.

Les résultats de Petrobras ont été affectés notamment par la réalisation d’un accord visant à mettre fin à un différend fiscal avec l’Etat et par la variation du taux de change entre le dollar et le réal au cours de la période, a souligné la société dans un communiqué.

Sur fond de polémique sur la distribution de dividendes aux actionnaires, le gouvernement proposera au conseil d’administration de remplacer le CEO par Magda Chambriard, ex-directrice de l’Agence nationale du pétrole.

Cette technologie a pour but de réduire «l’intensité des émissions de gaz à effet de serre, tout en augmentant la capacité de production du champ» pétrolier.

Petrobras a enregistré un bénéfice net de 54,3 milliards de réais (environ 10 milliards de francs) d’avril à juin, son meilleur résultat depuis le quatrième trimestre 2020 (59,9 milliards de réais), en raison notamment de la hausse du prix du baril.

Les actions ordinaires étaient en baisse de 8,68% vers 16h30 locales et les préférentielles de 8,32%, mais la chute avait légèrement dépassé les 10% en début d’après-midi.

L’information, révélée mercredi par Le Temps, a été confirmée par le parquet fédéral.

Brasilia aurait mandaté un cabinet d’avocats genevois pour prendre en main le processus de récupération d’avoirs détournés.

Comme deux autres banques suisses, l’établissement genevois est sous enquête après avoir permis à des anciens cadres du géant pétrolier public brésilien d’ouvrir des comptes chez lui.

Trafigura explique avoir répondu aux requêtes et fourni la documentation «disponible». Vitol déclare coopérer avec les autorités compétentes, sans se prononcer sur la perquisition à Genève.