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Un procédé proposé par le Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche permettrait, en l’espace d’une centaine d’années, de stocker durablement le carbone excédentaire actuellement présent dans l’atmosphère.

Premier émetteur de gaz à effet de serre de l’Union européenne, l'Etat dont le pilier économique est l’industrie, veut atteindre la neutralité carbone en 2045.

Cette technologie a pour but de réduire «l’intensité des émissions de gaz à effet de serre, tout en augmentant la capacité de production du champ» pétrolier.

L’institut de recherche climatique CICERO, en Norvège, prévoit une augmentation de 0,5 à 1,5% des émissions de la pollution carbone cette année.

En 2021, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a atteint en moyenne 414,7 parties par million (ppm), soit 2,3 ppm de plus qu’en 2020 selon l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).

La multinationale zougoise compte exploiter la technologie de captage et de minéralisation du dioxyde de carbone (CO2) pour concevoir un nouveau matériau entrant dans la composition de son «ciment vert».

Le taux de CO₂ dans l’atmosphère a atteint en mai un plus haut depuis qu’il a commencé à être mesuré il y a 63 ans.

Ce résultat encourageant lui permet d’envisager avec confiance, d’ici à 2025, une réduction d’au moins 30% de ses émissions de CO₂ par rapport à 2014.

Les participants peuvent s'inscrire jusqu’au 25 janvier 2021.

Le projet de loi crée les conditions requises pour accompagner la transition des énergies fossiles vers les énergies sobres en carbone. L’ASB plaide en faveur du «oui» au référendum.