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L’accélération de la croissance du PIB Suisse du premier trimestre ne devrait pas durer.

Les chiffres d’affaires ont reculé de 7,7% entre 2008 à 2018. Genève (-3%) et le Valais (-5,3%) ont été moins touchés. À l’inverse, de Neuchâtel (-14,0%) et du canton de Vaud (-12,1%).

Selon les dernières estimations du CREA publiées par la BCV, l’État de Vaud et la CVCI, une embellie reste possible en 2020, avec une remontée de la croissance à 1,9%.

Dans une période comme celle d'aujourd’hui, où la sélection rigoureuse des émetteurs s’avère payante, le marché distinguera de plus en plus entre les gagnants et les perdants.

La question est de savoir quel sera le moteur des marchés. Trois thèmes principaux devraient émerger au prochain trimestre.

Les incertitudes liées au Brexit et les jeux de pouvoir de la politique commerciale américaine découragent l’investissement industriel des entreprises.

Robeco explique comment certaines tendances de croissance structurelle continuent de refléter l’évolution du pouvoir d’achat et des préférences des consommateurs.

L’année dernière était contrastée et pourrait symboliser l’entrée dans une période moins favorable aux activités de marché, plus réglementée et moins rentable.

En 2019, les conditions de crédit et la stabilité des notes des banques émettrices devraient continuer à soutenir les d’obligations sécurisées françaises, selon S&P Global Ratings.

Un Brexit «à l’aveugle» constitue l’issue la plus probable du sujet politique majeur en Europe.