Allnews

On peut raisonnablement s’attendre à une, voire deux hausses de taux de la Fed rapidement après la fin des achats nets d’actifs sur le marché.

Si l’histoire peut être un guide, l’année 1962, dernière année du «Tigre d’eau», doit nous préparer à une année 2022 riche en changements de cap.

Le début 2022 s’annonce compliqué en Chine entre ralentissement économique, tensions géopolitiques et incertitude sanitaire. Mais le Tigre d’eau pourrait réserver bien des surprises.

«Nous avons la conviction que les critères extra-financiers (ESG) sont des leviers de performance long terme pour les entreprises», déclare le président Guillaume Dard.

Les banques centrales devront chercher un équilibre entre maitrise de l’inflation et stabilité financière, en veillant à ce que les flux de financement ultra-abondants ne se tarissent pas trop vite.

Depuis Trump, les pressions politiques se sont renforcées sur la Fed. Le second mandat de Powell ne fera pas exception à la règle.

Le regain de COVID-19 pourrait paradoxalement lever quelques incertitudes. Notamment en allégeant les pressions sur l’approvisionnement énergétique mais surtout en confortant la BCE dans sa position attentiste.

Il faut tenir bon car la politique monétaire ne peut résoudre seule des problématiques logistiques ou énergétiques.

Malgré la montée des inquiétudes, les records s’enchaînent sur les marchés qui apprécient l’équilibre monétaire et économique actuel. Seul un choc externe pourrait tout remettre en cause.

Faute de vues à long terme et coordonnées de la transition énergétique, le prix des énergies fossiles s’envole. Un changement d’approche est indispensable pour gérer l’urgence climatique.