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Plus les semaines passent et plus la réunion de la Réserve fédérale américaine du 20 septembre dernier apparaît comme un point de rupture, tant du point de vue de la trajectoire des marchés que de celle de l’économie.

Les hausses des taux de la Fed et de la Banque Centrale Européenne ont mis fin à la parenthèse enchantée des taux d’intérêts quasi-nuls pour les Etats jugés solides.

Les actions US ont perdu plus de 2% sur deux jours et les taux américains à 10 ans ont franchi le seuil symbolique des 4,5%. Un record depuis octobre 2007. Que s’est-il donc passé?

L’exploration spatiale connaît aujourd’hui un tournant et pas moins de 150 missions d’exploration spatiale sont d’ores et déjà prévues d’ici 2030.

Face à ces nuages qui s’accumulent sur l’horizon économique, les banques centrales vont devoir rapidement envisager une dernière étape, pour ne pas se retrouver piéger au sommet par le blizzard: la descente.

Le pays dispose de nombreux atouts pour jouer les premiers rôles dans les décennies à venir.

Le typhon Saola n’est pas le seul à affecter la Chine. Un second impacte depuis deux ans le pays: le dégonflement de sa bulle immobilière.

Après un premier semestre de surprenante résilience, l’horizon économique paraît nettement moins limpide.

Jerome Powell fait face à un dilemme: maintenir le cap avec une hausse de taux pour éviter une recrudescence de l’inflation, ou bien jeter l'ancre à la lueur d’une récession manufacturière?

L’effet de base des prix de l’énergie joue fortement dans la baisse de l’inflation totale, et devrait continuer à être favorable dans les mois prochains, de même que l’évolution des prix alimentaires.