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Parmi les hauts cadres, on comptait fin décembre 2019 une femme pour trois hommes, selon le rapport de durabilité de la banque.

Sur les 50 entreprises suisses analysées par le chasseur de tête Heidrick & Struggles, seulement une est dirigée par une femme, indique l’entreprise mercredi dans une étude.

Le classement Mastercard, dominé par les USA, place la Suisse au septième rang, derrière Taïwan, l’Irlande, Israël, le Canada et la Nouvelle-Zélande.

Le Credit Suisse Research Institute publie son troisième rapport CS Gender 3000, intitulé «The CS Gender 3000 in 2019: The changing face of companies».

Une nouvelle étude mondiale d'HSBC Private Banking montre que 35% des femmes entrepreneures connaissent des préjugés sexistes lors de la collecte de capitaux.

Le gouvernement a opté pour une aide de 700 millions de francs sur neuf ans destinée aux femmes proches de la retraite.

Les sociétés devraient atteindre au moins 30% de femmes dans les conseils d’administration et 20% dans les directions, mais aucune sanction n’est prévue.

En terme de décalage salarial hommes-femmes, la Suisse est le troisième plus mauvais élève, derrière l’Autriche et Israël, affirme l’Organisation internationale du travail.

Au sein des 20 entreprises cotées à l’indice vedette de la Bourse suisse (SMI), 55 postes sur 206 dans les conseils d’administrations sont occupés par des femmes.

La commission des affaires juridiques du Conseil des Etats recommande de justesse de les supprimer.