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Le fonds de pension américain devient le quatrième plus grand actionnaire avec une part de 3,1%. Le titre de la banque allemande grimpe de près de 10%.

«Nous avons publié une perte importante», de 5,72 milliards d’euros, «mais je me sens satisfait et positif», estime le CEO Christian Sewing.

Cette opération, annoncée le 23 septembre dernier par les banques allemande et française, porte sur les activités de courtage en actions et de prêts aux fonds d’arbitrage.

La justice milanaise ordonne la confiscation de 150 millions d’euros dans une affaires d’opérations financières douteuses.

Ces banquiers étaient accusés d’avoir fait de fausses déclarations lors du procès Kirch, dont le point de départ fut la faillite en 2002 de l’ex-magnat des médias.

De juillet à septembre, les recettes ont poursuivi leur décrue, totalisant 5,26 milliards d’euros soit une baisse annuelle de 15%.

«Cet accord prouve l’engagement de BNP Paribas vis-à-vis des investisseurs institutionnels», s’est félicité Yann Gérardin, directeur général adjoint de BNP Paribas.

Le «Wall Street Journal» mentionne des discussions menées depuis le début de l’année jusqu’en juin.

Le directoire songe à réintégrer dans la maison-mère la division de banque de détail, selon le «Handelsblatt».

Sans les charges exceptionnelles pour 3,4 milliards d’euros, le groupe de Francfort aurait dégagé un bénéfice net part du groupe de 231 millions d’euros, en recul de 43% sur un an.