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La période de juillet à septembre a vu l’activité ralentir plus fortement qu’attendu, signale la présidente de Federcommercio, soulignant que l’arrivée de l’été et des touristes n’a pas eu l’effet positif escompté.

«La question de la soutenabilité de la dette publique revient au cœur des débats», explique Marc Brütsch, économiste en chef de Swiss Life.

La principale raison de ce nouveau repli réside dans la forte baisse de la production par rapport à septembre, et dans la minceur des carnets de commandes.

La faiblesse persistante de la conjoncture a visiblement poussé la BCE à plus de retenue. La barre pour de nouvelles hausses des taux a été placée bien plus haut.

En 2021, la valeur ajoutée du secteur culturel est remontée à 15,2 milliards de francs, soit une hausse de 3,5% par rapport à 2020, alors que le PIB s’est étoffé dans le même temps de 5,4%.

En zone euro, l’offre réduite entraîne une nouvelle hausse des prix de l’énergie.

Si nous estimons désormais la croissance à 0,7%, cela signifie en réalité que nous abaissons nos prévisions d’évolution conjoncturelle pour le second semestre 2023.

L’indice Flash PMI Composite et S&P Global/CIPS a reculé à 46,8 points en septembre, un plus bas depuis 32 mois, soit près de trois ans, contre 48,6 points en août.

Attendre Godot signifie attendre en vain une personne ou la survenance d’un événement donné. L’expression «En attendant Godot» provient de la pièce éponyme de l’auteur irlandais Samuel Beckett.

«En Europe, on commence à se demander si la politique monétaire n’est pas déjà trop restrictive», a commenté Marc Brütsch, économiste en chef de Swiss Life.