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Boris Johnson rejette l’alignement réclamé par Bruxelles sur les règles de l’UE comme «prix» à payer pour un accord de libre-échange.

Les chefs de l’UE ont exprimé leurs «émotions mélangées» vendredi et réaffirmé la «force de l’union», à «l’aube d’une ère nouvelle».

Après plus de trois ans de déchirements, plus moyen de reculer: le Royaume-Uni devient le premier pays à quitter l’Union européenne, mettant fin à un mariage houleux de 47 ans.

La croissance 2019 pourrait tomber à 1,3%, soit le rythme d’expansion le plus faible depuis 2009, selon des estimations d’économistes compilées par le Trésor.

La BoE a préféré le statu quo à la faveur d’un rebond de l’activité attendu en ce début d’année et d’une baisse de l’incertitude avec le Brexit qui sera finalement acté vendredi soir.

Ce sera la dernière décision sur les taux du gouverneur Mark Carney (photo), qui passera la main mi-mars à Andrew Bailey.

«Nous vous aimerons toujours et nous ne serons jamais loin», a promis la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen aux eurodéputés britanniques.

Les Suisses pourront continuer à travailler au Royaume-Uni dans le cadre de la libre circulation des personnes, tout comme les Britanniques en Suisse. 

Le gouverneur de la BoE, Mark Carney, a confirmé qu’il y avait un débat au sein du comité de politique monétaire sur les mérites relatifs d’une relance de court terme.

Bruxelles et Londres ont signé vendredi l’acte de séparation qui n’a plus qu’à être ratifié par le Parlement européen