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Plusieurs dirigeants, dont François Villeroy de Galhau, estiment que la crise du coronavirus «offre la chance d’une vie» pour rebâtir l’économie de manière à lutter contre le changement climatique.

Les institutions financières obtiennent un meilleur accès à des dollars en échangeant «temporairement» leurs bons du Trésor américain contre des billets verts.

Des dollars vont être injectés sur les marchés par des accords permanents en swap.

Au fur et à mesure que l’impact sur la croissance se fait sentir, les regards se tournent vers les pays qui disposent de marges budgétaires.

Le but est de définir un cadre réglementaire. Des banquiers centraux, des entreprises et des ONG devraient se joindre cette initiative.

Fin 2019, 80% des banques centrales interrogées avaient lancé des travaux sous une forme ou une autre, contre 70% un an plus tôt, a indiqué la banque des règlements internationaux.

BNS, BCE, BoE, BoJ, Sveriges Riksbank et BRI ont créé un groupe de travail sur les monnaies numériques de banques centrales.

Le gouverneur de la Banque d’Angleterre craint que la politique monétaire n’aura pas assez de marge de manœuvre en cas de crise profonde.

La Banque de France veut lancer un appel à projets d’ici la fin du premier trimestre 2020. Cet «euro numérique» sera dédié aux montants très élevés.

L'augmentation des risques de récession fige les rendements. L'Allemagne est au bord d'une récession technique.