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Revenu à -17,5 points, cet indicateur particulièrement instable a augmenté de 6,6 points sur un mois.

Les exportations ont progressé de 0,7% sur un mois, mais moins que les importations (+1,3% sur la même période).

Cette statistique est à rebours des attentes des analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset, qui tablaient sur une hausse de 0,45% en octobre.

Les ministres des Finances Olaf Scholz et Bruno Le Maire doivent présenter la proposition lors d’une réunion avec leurs homologues de la zone euro à Bruxelles.

Le ralentissement de la hausse des prix est lié aux produits alimentaires, dont les prix ont augmenté de 1,4% sur un an en novembre, après +1,9% en octobre.

«Nous souhaitons maintenir cette tendance positive avec le management et les collaborateurs hautement spécialisés», a déclaré Markus Reich, associé directeur de Cross Equity.

Bruxelles vise l’Allemagne sans la nommer. Depuis plusieurs années, Berlin traîne des pieds sur le mécanisme censé garantir les dépôts bancaires des épargnants.

Le baromètre GfK devrait ressortir à 10,4 points en décembre, soit 0,2 point de moins qu’en novembre et octobre.

«Les entreprises voient la situation actuelle moins favorablement, même si le niveau reste élevé», commente Clemens Fuest, le président de l’institut Ifo.

Cette baisse met fin aux seize trimestres consécutifs de croissance enregistrés depuis début 2015, sans pour autant marquer une récession.