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La banque centrale allemande intègre le coup de frein du premier trimestre et les multiples «incertitudes» pesant sur l’économie.

Le baromètre de l’institut ZEW est ressorti à -16,1 points en juin, après -8,2 points en mai et en avril.

Les plus vieux véhicules diesel ne pourront plus emprunter deux tronçons de rue après une décision de justice autorisant les villes à mettre en place de telles restrictions afin d’assainir l’air.

Le baromètre Ifo est ressorti légèrement au-dessus des attentes en se stabilisant à 102,2 points en mai.

Hausse du PIB de 0,3% au premier trimestre. Ceux de l’an dernier avaient vu l’activité économique croître de 0,9%, 0,6%, 0,7% puis 0,6%.

La production de biens d’investissement a avancé de 2,6% sur un mois et celle des biens de consommation de 1,1%, tandis que celle des biens semi-finis a reculé de 0,6%.

Le baromètre GfK devrait ressortir à 10,8 points en mai, contre 10,9 points en avril et 10,8 en mars.

Cet ajustement à la baisse, alors que Berlin n’avait cessé l’an dernier de revoir ses pronostics à la hausse, intervient après une série d’indicateurs mitigés concernant la première économie européenne.

L’inflation allemande, qui avait reculé en février à 1,4%, a été poussée en mars par les prix de l’alimentation, en hausse de 2,9% sur un an, contre une hausse de 1,1% en février.

Les constructeurs allemands sont de loin les plus gros exportateurs d’automobiles des Etats-Unis vers la Chine, signale une étude de AllianceBernstein.