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Le titre décroche de 7,47% à 278,15 euros, dans un marché parisien en baisse de 1,15%. Depuis le début de l’année, il est sur le podium des pires performances des entreprises de l’indice phare CAC 40.

La banque centrale et le régulateur veulent s’aligner sur les USA, où depuis fin mai le délai maximum pour régler les titres échangés sur les marchés est passé de deux jours à un jour après la date de transaction.

Selon le «FT», la maison mère de Facebook réfléchirait à un investissement de plusieurs milliards d’euros dans le groupe franco-italien afin d’étendre leur partenariat dans les lunettes connectées.

Vers la mi-journée, la nominative progresse de 5,3% à 65,40 francs, dans un SPI en repli de 0,3%.

Les tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis éclipsent les résultats positifs, grâce à l'IA, du spécialiste européen des semi-conducteurs.

Le réassureur avait annoncé hier que la performance des activités d’assurance L&H du deuxième trimestre était attendue en baisse de 400 millions d’euros, notamment du fait de nouvelles provisions.

Au total 607’879 nominatives du groupe horloger ont changé de mains lundi. La transaction a été effectuée par un membre exécutif du conseil d’administration.

Pour Matthias Geissbühler, CIO de Raiffeisen, le marché des actions aux Etats-Unis n’offre, lui, désormais plus qu’un potentiel d’appréciation restreint.

«La technologie blockchain s'impose de plus en plus dans le monde financier traditionnel et cette évolution est déjà bien avancée dans le secteur des paiements», déclare Roman Przibylla, Responsable des investissements chez Maverix.

Le titre du constructeur de véhicules électriques américain s’envole de 27%, autour de 15 dollars, au plus haut depuis février.