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Soutenus par le changement de politique monétaire des banques centrales, les titres de substance ont vécu le deuxième plus bel exercice de leur histoire en 2022.

Les perturbations des chaînes d’approvisionnement mondiales devraient se résorber rapidement et il ne devrait pas y avoir de retour en arrière pour ce qui est de la disponibilité des marchandises, en amélioration constante sur le plan mondial.

Les événements des années 1970 ont appris aux banquiers centraux à prendre très au sérieux les risques d’inflation. Que les investisseurs prennent garde: la tâche de Powell n’est pas terminée.

«Le recul des taux d’inflation se poursuit. En Suisse, l’inflation passera sous la barre des 2% en été 2023», a commenté Marc Brütsch, économiste en chef de Swiss Life.

Dans le contexte du ralentissement de la conjoncture américaine, un facteur négatif supplémentaire tel que de longues négociations sur le plafond de la dette pourrait faire pencher la balance vers la récession.

La Chine pourrait renouer avec la croissance après une année 2022 difficile mais sa croissance dépend largement du consommateur.

Cette année aussi, seules les actions de la meilleure qualité seront assez bonnes.

Focus sur les entreprises de croissance innovantes dans le contexte actuel, entre prudence et optimisme.

Stephen Coltman, Senior Investment Manager chez abrdn, souligne l’importance d’éviter les phases de correction pour améliorer son rendement à long terme.

2023 sera-t-elle une année convenable pour les rendements obligataires? Le rallye du revenu fixe est allé plus loin que prévu.