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Dans l’enquête conjoncturelle de la CCIG, 55% des entreprises sondées indiquent un volume des affaires en hausse.

Ce niveau robuste d’embauches «est bon pour l’économie et les travailleurs, mais la croissance des salaires est encore assez élevée», ce qui empêche l’inflation de ralentir, déclare la cheffe économiste d’ADP.

A l’OMC à Genève ce 8 mars, la présidente de la BCE déclare: «les premières victimes d’une inflation élevée sont les défavorisés, les vulnérables, les moins bien payés, ce sont les femmes.»

Les Suisses et Suissesses ont commandé pour 14 milliards de francs sur les boutiques en ligne, un chiffre en baisse de 2,8% sur un an.

«La Suisse ne connaît guère de mesures d’encouragement nationales telles que les primes à l’achat accordées dans beaucoup de nos pays voisins», déplore le vice-président d'Auto-Suisse, Marcel Guerry.

Les obligations (-0,44%) ont constitué le principal moteur de contrariété des rendements, devant les actions étrangères (-0,24%) et leurs pendantes autochtones (-0,11%).

Le déclin sur l’exercice en cours doit s’établir dans une fourchette de 13 à 15% tcc quand le bénéfice d’exploitation ajusté doit s’inscrire entre 550 et 600 millions.

Côté suisse, c’est surtout le groupe de marques de luxe Richemont qui se distingue par une hausse de son chiffre d’affaires supérieure à la moyenne, selon le classement de Deloitte.

Il s’agit de «la seule issue en temps opportun qui nous permette de payer toutes nos factures», signale Jerome Powell.

«Les données économiques les plus récentes sont plus fortes que prévu, ce qui suggère que le niveau final des taux d’intérêt sera susceptible d’être plus élevé que prévu», avertit le président de la Fed devant une commission du Sénat.