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«Le Royaume-Uni a maintenant un choix important à faire concernant son propre avenir», a déclaré le président du Conseil européen, Charles Michel.

Le Premier ministre Boris Johnson a demandé aux Britanniques de se préparer à un «no deal»

Le Royaume-Uni refuse net les concessions exigées par l’UE et menace de tourner les talons sans accord.

«Nos économies, des deux côtés de la Manche, sont sévèrement touchées par la pandémie et nous devons tout faire pour parvenir à un accord raisonnable», affirme la présidente de la Commission européenne.

«Il est impossible de modifier unilatéralement l’accord, de l’ignorer ou de cesser d’en appliquer les dispositions», affirme la présidente de la Commission européenne.

Les dirigeants européens ont exprimé leurs préoccupations sur Hong Kong et le sort de la minorité musulmane ouïghoure.

Le projet de loi britannique «violerait le droit international et saperait la confiance» entre les deux partenaires, a affirmé la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

En vue d'un accord rapide, «il faut que chaque Etat membre regarde au-delà de ses petits intérêts», affirme la présidente de la Commission européenne.

«Le coronavirus est une crise mondiale, qui n’est pas limitée à un continent et qui requiert de la coopération plutôt qu’une action unilatérale», signale Ursula von der Leyen et Charles Michel.

La présidente de la Commission européenne a appelé à «trouver un équilibre entre les anciennes priorités et les nouvelles priorités».