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Le président américain estime que les taux d’intérêt sont un frein à la croissance.

Evoquant les taux d’emprunt italiens, le FMI note que les «retombées sur les autres marchés ont été pour le moment relativement limitées».

L’exécutif maintient le taux d’intérêt minimal dans la prévoyance professionnelle obligatoire à 1%.

Le président Thomas Jordan estime qu’il «est encore trop tôt».

«Ce durcissement monétaire est en fait inévitable, même s’il met les pays émergents sous pression», répond indirectement Christine Lagarde aux propos de Trump.

La politique monétaire américaine n’est pas assez restrictive pour suggérer une récession consécutive à une inversion de la courbe des taux d’intérêt.

Pour Guillaume Rigeade (EdRAM), la valorisation des emprunts allemands s’explique surtout par la politique monétaire. L’Italie ne fera pas défaut.

Les marchés sont désormais très attentifs à tout signal de Mario Draghi sur les détails pratiques de ces réinvestissements.

Le relèvement de 625 points de base surprend les marchés et fait immédiatement rebondir la livre après sa chute liée aux propos du président Erdogan.

La baisse du taux de participation au marché du travail ne suffit à pas remettre en cause les prochaines hausses de taux d’intérêt américains.