Allnews

L’hôtellerie suisse a enregistré 1,02 million de nuitées en avril, ce qui correspond à une baisse de 3,2% par rapport à la même période de l’année précédente.

Le Seco annonce une faible progression du PIB de 0,2%. La croissance du secteur des services a été contrebalancée par la faible évolution de l’industrie.

Les économistes de la grande banque tablent sur une croissance du PIB de 1,3% cette année, puis 1,5% en 2025, et un maintien de l’inflation dans la cible de 0% à 2% de la BNS.

L’initiative du PS demande de plafonner les primes à 10% du revenu disponible. Les primes pourront continuer à augmenter, mais si elles dépassent ce seuil, le reste sera payé par la Confédération et par les cantons via les subsides.

Leur performance nette moyenne a atteint +5,2%, contre -9,2% en 2022. Il est toutefois prématuré de parler d’un retour à la stabilité, avertit la commission de haute surveillance.

Les loyers proposés en avril ont légèrement baissé de 0,2% par rapport au mois précédent, selon les statistiques publiées par la société d’évaluation immobilière Cifi. Mais sur un an, la hausse reste considérable, à 2,7%.

En tout, 106’957 personnes étaient inscrites au chômage auprès des offices régionaux de placement (ORP), soit 1636 de moins que le mois précédent, selon le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco).

L’hôtellerie suisse a enregistré 3,3 millions de nuitées en mars, ce qui correspond à une hausse de 3,9% par rapport à la même période de l’année précédente.

Malgré ces mesures, l’établissement affirme que «son ambition demeure inchangée en Suisse» et qu’il veut «continuer à mettre en place son plan stratégique 2025» et poursuivre sa croissance.

L’an dernier, l’établissement genevois - filiale du groupe bancaire français Crédit Agricole - a vu le résultat net des opérations d’intérêt bondir de 65% à 175,7 millions de francs.